Cent Sonnets un Signe à l'Envers
Pierre Thiry
Poésie
Vous voulez prendre une cure de bonne humeur et de bonheur ? Lisez la poésie de Pierre Thiry ! Ce recueil devrait être vendu dans les pharmacies et remboursé par la Sécurité Sociale tant il fait du bien !
Quel plaisir de lire ces sonnets pétillants, malins, drôles ou tendres, efficaces et extrêmement bien "tricotés" ! La rime et le vocabulaire sont extrêmement riches, les jeux de mots créatifs, et, ce qui m'a ravit tout de suite : (quand on sait ô combien un poème doit couler à la lecture et la difficulté de son élaboration) l'auteur a compté les pieds ! Et là je dis : merci Pierre Thiry, vous êtes un poète avec un P majuscule ! Je ne dénigre pas les vers libres, mais pour moi la Poésie s'écrit en rimes, c'est tout un art de faire entrer l'idée, le sens (ou le non-sens ! lol) la magie et l'onirisme dans un vers dont on a compté les pieds. Quand les règles de cet art sont respectées, je suis d'autant plus ravie de lire un poème digne de ce nom.
Quelle fête, ces sonnets ! Quand on a terminé le livre, on y retourne de temps en temps, souvent, tous les jours presque, pour goûter de nouveau à cette fantaisie, ces bonheurs de petits poèmes qui vous dessinent un sourire dès qu'on les a lus, vous ravissent et vous touchent en même temps.
De "La passante en croquenots" (l'histoire se déroule à Venise, vous pensez si j'adore ! lol ) aux "Sonnets pour les gondoles" en passant par "A l'ombre du tango", "Fleuves et mots passants" (en acrostiche) aux hommages à Gustave Flaubert, j'ai tout aimé. D'ailleurs on rencontre souvent des Gustave et des Ophélie (et une Natacha Perçan) dans ces sonnets, des tristes et des gais, à l'instar de ce Mexicain à la recherche "d'une tequila, sinon quoi ?" lol Du "chocolat" à "l'ardu roc", (pas facile les rimes en oc cela m'a fait penser à Nougayork) on voyage de "Scènes de métro" en "Vers gorgés de Charibert", pour finir par "Jongler avec les mots "Sans se soucier de la fin qui finit - Concocter des sonnets à l'infini - Ainsi que le faisaient les troubadours".
Quoi de neuf docteur ? Vous prendrez des vers de Pierre Thiry chaque jour après le petit déjeuner et un sonnet le soir au coucher ! lol
Merci Pierre Thiry pour toutes ces pirouettes de mots !
Quelle fête, ces sonnets ! Quand on a terminé le livre, on y retourne de temps en temps, souvent, tous les jours presque, pour goûter de nouveau à cette fantaisie, ces bonheurs de petits poèmes qui vous dessinent un sourire dès qu'on les a lus, vous ravissent et vous touchent en même temps.
De "La passante en croquenots" (l'histoire se déroule à Venise, vous pensez si j'adore ! lol ) aux "Sonnets pour les gondoles" en passant par "A l'ombre du tango", "Fleuves et mots passants" (en acrostiche) aux hommages à Gustave Flaubert, j'ai tout aimé. D'ailleurs on rencontre souvent des Gustave et des Ophélie (et une Natacha Perçan) dans ces sonnets, des tristes et des gais, à l'instar de ce Mexicain à la recherche "d'une tequila, sinon quoi ?" lol Du "chocolat" à "l'ardu roc", (pas facile les rimes en oc cela m'a fait penser à Nougayork) on voyage de "Scènes de métro" en "Vers gorgés de Charibert", pour finir par "Jongler avec les mots "Sans se soucier de la fin qui finit - Concocter des sonnets à l'infini - Ainsi que le faisaient les troubadours".
Quoi de neuf docteur ? Vous prendrez des vers de Pierre Thiry chaque jour après le petit déjeuner et un sonnet le soir au coucher ! lol
Merci Pierre Thiry pour toutes ces pirouettes de mots !
Ah ça c'est pour moi. Merci Nathanaëlle , sûr que ça me fera du bien et en ce moment , j'en ai bien besoin .
RépondreSupprimerBises
Tu verras, cela va te plaire, et... oui en ce moment, cela peut te soutenir le moral. Courage... Gros bisous Zoé et les petites Puces
Supprimer